Amitié? [ PV: Aura et Neige ]

Mystère marchait d'un pas assuré, malgré l'angoisse qui lui enserrai le ventre. Il n'avait encore jamais quitté le camp, car étant encore un chaton malgré son âge avancé, il n'avait pas le droit de sortir. Mais cette fois-ci, le jeune chat chocolat avait réussi à sortir du camp sans se faire repérer. Cela faisait longtemps qu'il avait réfléchi à ce plan d'évasion, de courte durée, évidemment. Il comptait bien rentrer au camp une fois sa tâche achevée.
Il avait longtemps réfléchi avant de se décider. Il n'avait aucune idée de l'endroit où la meute vivait, mais qu'importe, il finirait par trouver, grâce à son flair et à son ouïe bien développés.
Pour la troisième fois depuis son départ, qui remontait à environ une heure, il trébucha et failli s'écraser dans l'herbe rase. Ses jambes tremblaient si forts qu'il avait du mal à marcher droit. Il savait que sa mission était loin d'être facile, et qu'il avait peu de chance de réussir, mais il s'en fichait. Il était trop têtu et borné. Mais plus il s'éloignait du camp et plus il regrettait son geste. La raison commença à revenir en lui, celle qui avait été éffacé par sa haine envers le loup qui l'avait rendu orphelin, peu avant son entrée au Clan de la Lumière. En fait, il n'avait aucune chance de réussir. Il était beaucoup trop jeune, trop inexpérimenté! Comment avait-il put oser penser y arriver? Mystère jura, pesta contre son manque de maturité et de responsabilité.
Il avait depuis longtemps quitté le territoire de son Clan, et il errait maintenant dans les terres libres. Au bout d'un moment, il fit halte et s'allongea, les cousinets meurtris par la marche. Il regarda autour de lui. Par déduction, il sut qu'il se trouvait dans le pré abandonné. Sa mère adoptive lui avait parler des territoires avironnant, ainsi que du légendaire Etoile de Feu, qui avait vécu cent ans auparavant. Il ne se lassait pas d'écouter les anciens conter les exploits de ce chat domestique au pelage de flamme sélever jusqu'au rang de chef du Clan du Tonnerre, un Clan d'antan. Il rêvait d'être un jour aussi brave que lui.
Un crissement de feuille le sortit de sa rêverie. Il se dressa sur ses pattes et tendit l'oreille. Le bruit n'avait pas cessé, s'amplifiait même. Mystère s'approcha, et il n'eut pas le temps de dire ouf qu'un boule de poil, aussi grosse que lui, lui sauta dessus.

X. Aube

[Aura, Mystère et Neige]

L'air explosa au-dessus de moi. Je poussai un cri de frayeur, me protégeai les oreilles avec mes pattes. Autour de moi, tout était flou. J'entendais juste des hurlements effrayés, les gémissements des victimes ; je ne sentais rien d'autre que l'odeur âcre du sang, les remugles métalliques du souffre. J'avais peur, si peur ! Je tentai de me lever, mais mes pattes ne pouvaient me porter. J'étais collée au sol, incapable de fuir, incapable même de crier. Ma voix m'avait quitté. Je ne pouvais que regarder, impuissante, les formes indistinctes autour de moi. Je priai, aussi fort que je le pouvais. Qui, quoi, quand, pourquoi ? J'avais perdu toute notion du temps, je voulais juste vivre. Quelque chose s'approcha de moi, me traversa comme une échappe de brume. Je compris, horrifiée, que mon corps avait perdu toute consistance. Incapable de bouger, incapable de parler, incapable de mourir. Je songeai, avec une lucidité effrayante, que si la moindre chance d'échapper à mon destin s'offrait à moi, je la saisirais. Quel qu'en soit le prix. Aussitôt cette pensée formulée, une chose gluante s'accrocha à mon pelage. Je la regardai, remarquant au passage que j'avais retrouvé la vue, et hurlai. C'était un organe noir, suintant la mort. Rein ou poumon, je ne savais pas, mais c'était horrible. Je me levai d'un bond et détalai vers un bosquet proche, ravagé par les flammes. Une épaisse fumée grise s'élevait au-dessus du brasier, couvrant le ciel et le soleil. Je déviai ma course, fonçant cette fois vers un rocher. Sa haute stature dominai les environs, solide et charpenté. Je me glissai dans une fissure au ras du sol, et me tapissai sur le sol caillouteux, mon ventre humide et vide s'entaillant sur les roches aiguës. Un craquement retenti au dessus de ma tête. Je n'eus pas le temps de m'échapper, déjà le plafond s'écroulait sur moi. Sans comprendre, je me retrouvai piégée sous des centaines de tonnes rocheuses. La panique s'infiltra en moi, j'ouvrai la bouche pour appeler à l'aide. Un nuage de fumée s'infiltra en moi. Je crachai, m'étouffai, mais rien n'y faisait...

Aura s'éveilla en sursaut, haletante. Elle était seule dans la pouponnière, le nez enfoncé dans sa paillasse de mousse. Encore choquée par cet étrange songe, elle se redressa lentement. Inspira à fond. Les remugles de sang, de souffre et de fumée flottaient encore dans ses narines. L'air frais de l'automne s'engouffra dans sa gorge, lui faisant l'effet d'une douche froide. Elle glissa hors de la pouponnière, les yeux encore bouffis de sommeil, et s'ébroua. Son pelage en bataille lui tira une grimace. Le Clan dormait encore. Quelques rares guerriers discutaient près du tas de gibier, un apprenti solitaire s'approchait d'eux d'une démarche chaloupée. Aura se lécha la patte avant gauche et se la passa derrière l'oreille. Puis elle s'approcha à pas de loup des barrières du camp et se glissa telle une ombre entre les deux bouts d'une brèche. Elle avait besoin de respirer.
Elle longea la Rivière Glacée, figée à jamais dans la glace. Elle appuya sur une petite couche de glace, brisant le gel, et lapa un peu d'eau. Elle était glacée. En grimaçant, elle secoua la tête, projetant des petites gouttelettes alentour. Un merle s'envola en poussant un croassement de protestation en dardant vers elle un regard venimeux. Elle lui tira la langue et poursuivit son chemin.
Plus elle marchait, plus elle s'approchait du Pré Abandonné. Mais elle ne s'en rendait pas vraiment compte, perdue dans ses pensées à cause de son rêve. Que voulait-il dire ? Était-ce un cauchemar ? Un avertissement ? Tant de questions sans réponses. Elle s'assit un peu pour reprendre son souffle et laisser se reposer ses pattes. Elle avait l'impression d'avoir marcher sur un champ d'aiguilles. Elle soupira, se coucha sur le sol. Entreprit de faire sa toilette.

* » Je n'aurais pas dû quitter le camp sur un coup de tête, songeait-elle en nettoyant son épaule. Ce n'était pas très prudent. Imaginons qu'un faucon ou qu'un renard s'en prenne à moi... Ou pire, un loup !*

La petite savait que ces puissants canidés, aussi redoutables que des tigres, vivaient parfois près des montagnes. Redoutables chasseurs, excellents pisteurs et combattants hors-pair, tout un Clan ne suffisait pas à en abattre un seul. C'était les rois du Canada, si l'on exceptait les ours, bien sûr, mais ces derniers étaient plus stupides, plus lourds et plus grognons qu'eux. Et les chats étaient trop petits pour qu'ils daignent s'intéresser à eux. Un loup ne résonne pas comme cela. Ils sont rusés, rapides, ingénieux, puissants, grands et forts. Dans les légendes des anciens, ils étaient bien plus hauts que les dogues que l'on voyait parfois courir sous le couvert des arbres. Aura frissonna. Elle n'osait s'imaginer un pareil adversaire. On racontait que même les Bipèdes avaient peur des loups.
Elle s'attaqua à son poitrail, enlevant méticuleusement brindilles, mousses et terre séchée. Sa fourrure redevenue épaisse et lustrée, elle but un peu d'eau dans une flaque et regarda autour d'elle. Elle remarqua un chaton. Il devait aussi l'avoir entendu, car il s'approchait d'elle, sans pour autant la voir. Son pelage roux se fondait à merveille dans l'herbe jaunie. Elle sentit son échine se hérissait, et sourit. Elle était en terre libre, elle avait le droit d'être là. Et si elle pouvait flanquer la frousse à ce gamin...
Quand il fut assez près d'elle, Aura bondit. Ses pattes aux griffes rentrées labourèrent le dos de l'autre chaton, qui sursauta. Emportée par son élan, elle roula dans la poussière. Se releva d'un bond en jetant un regard désolé sur ses poils. Elle qui venait juste de faire sa toilette...
Puis son attention revint vers le petit. Elle montra les crocs encore une fois, puis, n'éprouvant pas le besoin de combattre davantage, s'assit. Sa queue touffue traçait des sillons sur le sol poussiéreux, elle ne disait rien. Ce n'était pas dans ses habitudes de parler à des étrangers. D'ailleurs, ce n'était pas son habitude de parler tout court.

Mystère éttouffa un cri d'étonnement. Quand le chaton, ou plutôt la chatonne, bondit sur son dos, il n'éprouva aucune douleur. Elle devait avoir les griffes rentrées, autrement dit elle ne chercher pas la bagarre. Le jeune mâle chocolat se releva et s'ébroua, observant la chatonne, qui emportée par son élan, avait roulée dans la poussière, et qui maintenant examinait son pelage poussièreux. Mystère soupira intérieurement de mépris. Cette chatonne se souciait de son pelage alors que, toute seul en territoire inconnue, car Mystère avait flairé l'odeur du Clan de l'Âme, elle risquait fort de rencontrer un blaireau, un renard, ou pire, un loup. Mystère gronda à la perspective de rencontrer un loup, l'un des assassins de sa mère. Prenant son grondement pour une provocation, la jeune chatte montra les crocs encore une fois, avant de s'assoir et de l'examiner. Il en fit de même. En fait, en y regardant mieux, cette chatt était très belle. Mince, des formes harmonieuse, au pelage de plusieurs tons de roux, allant de l'ocre à l'auburn, puis au rouge... Pelage brillant, à la queue touffue balayant le sol. Des oreilles rondes. Mais le plus captivant, c'était ses yeux. En amandes, envoutant, d'une belle couleur auburn. Malgré ça, ils n'avaient aucune expression. C'est ça qui était dommage. Non, finalement, elle était vraiment jolie.
Mais Mystère restait méfiant. Pourquoi lui avait-elle sautée dessus? Sûrement pas pour jouer, en tout cas... Elle restait là, à l'observer, le jaugeant de ses yeux d'ambres impassible. Le chat chocolat redressa la tête, la toisant à demi, supportant cette examen passiemment. Quand elle aurai finit, peut-être voudra-t-elle enfin s'expliquer!
Finalement, elle détourna le regard et regarda au loin. Mystère en fut déconcerté. Il pensait réellement que cette jeune chatte justifierait son attaque. Il attendit encore, puis, voyant qu'elle ne dirait rien, il soupira et se leva. Elle tourna lentement la tête vers lui. Il n'avait pas l'habitude de parler aux autres, car sa solitude et son enfermement sur lui-même était légendaire dans son Clan. Jamais les membres de son Clan n'avaient vu un chaton aussi renfermé. Il faisait la sourde oreille aux invitations des autres petits à jouer, ne montrait de la curiosité en presque rien, à part la chasse et le combat. Il passait son temps à observer l'horizon, réfléchissant à longueur de journée. Certains membres s'en inquiétaient. En fait, depuis qu'il était arrivé au camp, il passait son temps à méditer sur la mort de sa mère, le grand vide que lui avait causé la disparition de celle-ci, et surtout, le plan d'évasion, celui qu'il avait mis à execution ce jour là, et aussi le plan de vengeance. Mais malgré ça, il était troublé par cette chatte qu'il venait rencontré par hasard. Une force étrange le poussait à essayer de la connaître mieux... Il avait l'impression qu'un feu brûlait dans sa gorge, et aussi dans sa poitrine. Il s'approcha d'elle d'un pas décidé, et lui demanda, d'un ton le plus neutre possible:

Salut, comment tu t'appelles?

Tout simplement.

[excuses, pas d'inspi >.<"]

Carillon Célèste

J.amais je n'aurais cru possible une chose pareille. Les légendes parlent souvent d'amour, d'amitiés, d'alliances impossibles. Chez les humains, c'est un gage de loyauté, une chimère pour essayer de donner un peu de relief à leur race. Leur donner l'illusion d'un espoir. Comme s'ils en avait ! Ils étaient condamnés, prisonniers de leurs rêves et de leurs esprits. Moi, je ne cherche pas cela. Je ne cherche pas l'amitié parfaite, l'amour parfait. L'alliance parfaite. Je cherche la vie, je cherche un but, et je finirais bien par le trouver. Mon cœur est une balance, un édifice que j'érige au fur et à mesure que j'avance dans ce chemin sombre et sinueux que certains nomment « vie ». Mais je veux croire en cela, je veux croire en la « vie ». Je veux l'espoir de ces Bipèdes. Parce que le monde ne peut pas être qu'obscurité. Cela n'aurait pas de sens ! Il n'y a pas d'obscurité sans lumière...

Le gamin la regarda avec insistance, comme s'il attendait des excuses. Quoi ? Des excuses ? Elle ? Non mais il était barge ou quoi !? De un, il lui avait fait peur. De deux, c'était un mâle. Donc, par définition, il devait être galant. Sinon, ça ne sert à rien. Mais voyant qu'il n'en démordait pas, elle détourna les yeux, et fixa l'horizon. Le silence s'installa, à peine troublé de temps à autre par le chant des oiseaux ou le bramement d'un cerf. Aura commençait à s'impatienter. Elle n'était pas vraiment patiente. Et plus elle restait ici, plus son absence au camp risquait de se faire remarquer. Mais elle ne bougerait pas. Pas la première. C'était une décision irrévocable, et elle s'y tiendrait. Ses moustaches frémirent en souvenir du départ de son père. Pourquoi pensait-elle à ça ? Difficile de savoir. C'était un souvenir, fugace et intangible. Il flottait devant ses yeux, défilait, sans début ni fin, sans but apparent. Mais plus elle se concentrait, moins elle arrivait à le voir. Elle se rappelait juste d'une énorme silhouette, celle de Requiem Maudit, son père, qui la fixait, avant de se lever et de disparaître dans la pénombre. Un cri inarticulé s'échappait de ses lèvres, elle voulait le rejoindre, mais ses pattes ne la portaient pas. Elle se trouvait dans la même situation que dans son rêve, incapable de bouger et en proie à une panique irréversible. Elle frissonna, regagnant la réalité avec un plaisir indescriptible. Ses yeux papillonnèrent autour d'elle, elle tremblait un peu. C'était effrayant... Que voulait donc dire ses « visions » ? Elle aurait aimé le savoir, mais à cinq lunes et des poussières, la détermination ou l'expérience qui lui aurait permis de démêler le nœud enchevêtré de ses pensées lui manquait cruellement.

« Salut, comment tu t'appelles ? »

Le gamin ! Indirectement, il venait de la sortir de son trouble. Elle lui en était reconnaissante, tellement reconnaissante ! Sa rancune un peu oubliée, elle l'observa plus attentivement. Sa fourrure, couleur chocolat, était mi-longue, bien équilibrée, avec au bout de la queue une tâche noire. Il avait deux jolie yeux verrons, l'un bleu l'autre brun. Un halo mystérieux l'enveloppait, lui donnant l'air plus mature que son âge le laissait paraître. C'était un bel animal, fier et splendide. Et il était du Clan de la Lumière.
Mais elle était encore trop jeune pour s'y intéresser. Elle esquissa un sourire, et se releva souplement. Elle ne risquait rien à lui dire son nom. Elle agita la queue, cherchant le meilleur moyen de paraître originale à ses yeux. N'en trouvant aucun, elle s'élança. Naturellement.

« Et toi ? répliqua-t-elle d'un ton de défi. Tu es du Clan de la Lumière. Pourquoi voudrais-tu savoir mon nom ? Pour le donner à ton Clan ? »

Et toi ? répliqua-t-elle d'un ton de défi. Tu es du Clan de la Lumière. Pourquoi voudrais-tu savoir mon nom ? Pour le donner à ton Clan ?

Mystère recula, décontenancé. Il ne s'attendat pas à tant de violence de la part de cette chatonne. Il était outré. Il lui avait gentiment demandé son nom, sans chercher à l'offenser, et voilà qu'elle répliquait, avec une arrogance débordante. La nature du jeuen chat chocolat commença à ressortir. Lui qui avait faillit s'ouvrir à un autre chat, sortir de sa solitude et son renfermement, voilà que cette femelle le rembarrait vertement. Il se rembrunit, les sourcil froncés, et répliqua durement:

Ce n'est pas du tout ce que tu crois. Mon Clan ne seras pas beaucoup plus avancé en sachant ton nom, tu ne crois pas? Il ne leur sera pas très utile en matière des plantes, de la chasse et le combat. Eux ils n'en n'ont strictement rien à faire. Alors pourquoi penses-tu que j'irai le rapporter à mon Clan? De plus, quand on est poli, on se présente quand on rencontre quelqu'un. C'est plus simple, car si je dois te croiser à nouveau, je n'aurai pas à dire "Eh! Toi! La petite en roux, là! Faut que je te parle!"
Mais après, c'est toi qui voit!

Après cette tirade, il leva la tête et se redressa de toute sa hauteur, gonflant son pelage, la défiant d'avoir quelque chose à redire.
A présent, il ne la trouvait plus aussi belle que l'instant d'avant. Sa froideur avait terni son charme. Du moins, c'était son impression. Ce qui l'agaçait par dessus tout, c'était que cette chatonne était plus jeune que lui, elle devait avoir quatre ou cinq lunes, et elle le traitait comme si c'était lui le plus jeune! Tout de même, lui, il allait bientôt être nommé apprenti, et il espérait un peu plus de respect de sa part. Mais en la voyant le fixer de cette façon, il sut que jamais il n'aurait son respect, même s'il s'élevait tout à coup au rang de chef, elle ne lui montrerai pas plus respect qu'à un écureuil à moitié entamé.
Mystère s'assit, tout en restant bien droit, attendant sa réaction.

Découvre les Environs... Messages : 15 Date d'inscription : 24/10/2009

Elle aimait bien se balader, c'est d'ailleurs se qui l'a amenée a quitter le clan de si bonne matinée.
Neige marchait le long de la petite rivière. Elle entrevu un poisson qui filait dans l'eau. Aussi essayait-elle de l'attraper. Ce fut un echec. Mais sous poids de la patte, des gouttelettes d'eau avaient atterrit sur le pelage de la jeune chatte. Elle s'ébroua et reprit son chemin. Sur la route, aucun bruit présent les arbre défilaient aux dessus de sa tête tandis qu'elle cherchait de trouver des forme dans les nuage rose. Soudain, Une ombre noire passa toute vitesse devant ses yeux Surprise, elle effleura le haut de sa te avec sa queue comme pour rassurer son esprit que non elle ne .courrait aucun danger en s'aventurant loin du camp. Un grognementt se fit entendre, Nge sursauta. Mais quelque minutes plus tard, elle compris que c'etait son estomac qui criait famine ! Alors elle huma l'air à la recherche de gibier... Mais, quand elle leva le museau au ciel, une autre odeur lui saisit les narines.
Une odeur de chat.
Elle se pressa vers l'endroit ou l'odeur était la plus forte. Quant elle viit les deux chatons elle se faufilla dans un taillis d'herbes sèche. Mais elle ne pouvait s'empecher d'écouter la converssation des deux chatons.
Elle resta tout de même dans sa cachette. Mais soudain, un des chaton lança :
-"Tu es du Clan de la Lumière. Pourquoi voudrais-tu savoir mon nom ? Pour le donner à ton Clan ?
Dans un sursaut, la chatonne bicolore se débarassa de son camouflage, et marcha en direction du chat prétendu etre du même clan qu'elle.

-"Salut !" lança t'elle un peu trop sûre d'elle.
Puis elle se tourna vers le chaton chocolat et lui dit du ton le plus posait qu'elle pouvait:
-" Toi aussi, tu viens de la Lumière ? Je m'appelle Neige et toi ?"
[Nul par rapport à vous ! Nul mais nul !! >.<' ]

( mais non c'est pas nul! ^^ )

Mystère attendait toujours la réponse de son interlocutrice, dont il ne connaissait toujours pas le nom, quand un bruissement lui fit tourner la tête. Les deux jeunes chat fixèrent le taillis qui produisait ce crissement, le poile hérrissé et les crocs découvert, près à se déféndre. Finalement, ce fut une chatonne qui sortit de l'ombre. Une odeur rassurante vint éfleurer les narines de Mystère, qui reconnue Neige, une chatonne de son Clan. Il baissa aussitôt sa méfiance, contrairement à le chatte rousse, sans pour autant être ravie qu'elle soit là. Cette chatonne blanche mouchetée de noir était beaucoup trop calme et décontractée à son goût. Pas assez méfiante. Et celà ne lui plaisait pas trop. Il eut la preuve de ses impressions quand la nouvelle venue lança joyeusement:

Salut!

La chatte rousse leva un sourcil, avant de toiser Neige. Cette dernière ne fit pas attention à elle et se dirigea vers Mystère, le sourire au lèvre. Celui se leva et recula, mal à l'aise devant tant d'enthousiasme. Il n'en avait pas l'habitude. Quand elle se fut approcher, Neige lui lança d'un ton enjoué:

Toi aussi, tu viens de la Lumière? Je m'appelle Neige, et toi?

Cette fois, Mystère ouvrit des yeux gros comme des soucoupes. Cette petite ne le connaissait pas?! Mais il venait de la même pouponnière, pourtant! Plusieurs fois depuis que Mystère était arivé au camp, il s'était vu, de loin, mais il s'était vu. Normaement, dans un Clan, à peu près tout le monde se connait! Mystère ne svait pas si c'était une blague ou si elle était vraiment sincère, mais d'après ce qu'on dit sur elle, elle était sincère. Beaucoup de chaton la trouvait bizarre, ce qui ne les empêchait quand même pas de jouer avec elle. Mystère avait remarquer, mais ne lui ayant jamais parlé, n'avait pas pu vérifier. C'était donc l'occasion. Le ton presque méprisant, il répondit:

Je sais bien que tu t'appelle Neige! On est dans la même pouponnière, tu as déjà oublié? Tu devrais savoir que je suis de ton Clan et que je m'appelle Mystère, non?

Neige hocha la tête, loin de là blessée par son ton méprisant. Mystère en était sidéré.

» X.Aura [Âme]
» Neige ... [A finir excuser moi je pars en vacance >.>][Lumière]